Cette fois, nous nous rendons à l’église de La Pérausaz pour allez enseigner au campus de Oron-La-Ville notre cours sur la Guérison Divine. Le campus s’est déplacé exceptionnellement ici car l’Eglise d’Oron-La-Ville était occupée par un séminaire.
La veille, notre Directeur, John MADAN et Laura son épouse, sont venus chez nous pour planifier une partie des cours sur les différents campus Rhema, notamment celui de Paris. Une vraie joie de travailler avec eux.
Le vendredi matin, nous continuons à travailler au planning. Nous partons ensuite pour aller manger ensemble avant de nous rendre au lieu de notre enseignement.
Nous y sommes accueillis puis passons un temps dans la prière avant de commencer. Là, arrive une sorte de petite frayeur… nous ne nous savons plus vraiment quoi enseigner. Un drôle de sentiment… C’est l’heure, il faut y aller. Go pour l’intro et après… on verra.
Une fois l’intro passée, cela va tout seul.. vraiment agréable…et à une de ces vitesses… le temps devrait se rallonger. Les étudiants sont sous le choc de notre enseignement. Ils « boivent » nos paroles et sont suspendus en attendant chaque prochaine session. C’est bon!
Nous savons que seul Dieu transforme les coeurs et prépare les étudiants à recevoir les paroles d’encouragement, d’enseignement, de révélation qu’ils ont besoin.
Le vendredi finit déjà, et nous partons pour une nuit bien méritée.
Samedi matin, c’est reparti pour la suite de notre cours. Une vraie joie d’enseigner. Nous sommes comme un « poisson » dans l’eau et c’est bon.
L’heure du repas est là et nous mangeons une bonne fondue avec tous les étudiants et avons encore un temps de questions réponses. Nous aimons particulièrement ces moments car ils nous permettent de saisir la « température » de ce qui a été apporté.
Nous continuons sur l’après-midi d’enseigner les dernières heures et finissons par un temps de mise en pratique où nous encourageons les étudiants à prier les uns pour les autres et à se réjouir du miraculeux qui s’opère.
Merci Seigneur pour ce que tu fais et feras encore dans la vie de ces étudiants-étudiantes et leur destinée. Ce sont des moissonneurs et moissonneuses de vies nouvelles.